The Rider Post | 15 septembre 2016 THE FOURTH PHASE : Le plus grand film de snow de tous les temps ! Films & TV Lifestyle The Fourth Phase : Inspirés par le cycle de l‘eau, le snowboardeur Travis Rice et son équipe s‘embarquent pour une odyssée de 25000 km à travers les paysages magiques du Pacifique Nord, à la découverte de nouveaux territoires. Red Bull Media House présente THE FOURTH PHASE, par les créateurs de The Art of FLIGHT, une épopée qui suit Travis Rice dans sa quête d‘or blanc. Travis Rice, un des snowboardeurs les plus doués de sa génération a toujours su trouver de nouvelles idées, et partir à la recherche d‘horizons lointains. Alors qu‘il explore les pentes vierges de son Wyoming natal avec son mentor Bryan Iguchi, Travis prépare un voyage de 25 000 km qui suit le cycle de l‘eau autour du Pacifique Nord, où la neige et la glace créent des paysages magiques sur les montagnes alentours… Lors de cette odyssée, Travis Rice est rejoint par quelques-uns des snowboardeurs les plus créatifs de la planète, dont Mark Landvik, Eric Jackson, Mikkel Bang, Jeremy Jones, le français Victor de Le Rue et bien d‘autres. Des Alpes Japonaises aux volcans russes, jusqu‘à une nouvel- le destination spectaculaire en Alaska, l‘équipe va s‘immerger dans le cycle de la nature et relever tous les défis. Mais les risques sont nombreux, et Travis Rice sait qu‘il doit prendre les bonnes décisions pour mener à bien cette quête. THE FOURTH PHASE a été tourné entièrement en 4K ultra HD et optimisé pour les procédés Dolby Atmos et Dolby Vision, avec une musique originale de Kishi Bashi. Le film défriche une nouvelle voie, mélangeant action, documentaire et cinématographie pour des images et une bande son à couper le souffle. Une histoire pour tous ceux qui sont fascinés par l‘aventure, la nature, et la vie. Niveau casting : Retrouvez Bode Merrill, Shin Biyajima, Cam Fitzpatrick, Ben Ferguson, Mikkel Bang, Pat Moore, Jeremy Jones, Victor de le Rue, Mark Landvik, Eric Jackson, Bryan Iguchi et bien sûr Travis Rice ! Interview du réalisateur Jon ‘JK’ Klaczkiewicz THE FOURTH PHASE est attendu comme une suite de The Art of FLIGHT. En quoi The Art of FLIGHT vous a inspiré dans la réalisation de ce film ? The Art of FLIGHT a vraiment mis la barre haut en terme de standards de production, avec des technologies de pointe et des environnements particulièrement extrêmes ; mais ça a aussi été une expérience extrêmement stressante. On a voulu maintenir ici la qualité de tournage et de production, et construire également une histoire de haute tenue au niveau de la photographie et de l‘action. On voulait vraiment faire quelque chose de différent avec ce film. En quoi est-ce que THE FOURTH PHASE se distingue des autres films de Travis Rice ? Pour le dire simplement… l‘histoire qu‘il raconte. On emmène les spectateurs dans un véritable voyage avec ses temps forts et ses galères. Ce film est vraiment hybride. Dans le cœur du film, on va retrouver une action incroyable, du snowboard dans les coins les plus reculés de la planète. Mais on raconte aussi une histoire humaine pleine d‘émotions, Travis et son équipe s‘y retrouvent confrontés à eux même autant qu‘à l‘environnement avec lequel ils interagissent. Ce film offre une perspective plus personnelle sur Travis Rice, sa vie sur un snowboard et en dehors. On n‘avait jamais en- core pénétré son intimité comme ça, comment avez-vous tra- vaillé tous les deux là-dessus ? THE FOURTH PHASE dévoile en effet aux spectateurs un coté de Travis qui n‘avait encore jamais été montré. Ce n‘est pas un projet facile, et tous les membres de l‘équipe ont dû atteindre un haut niveau de confiance réciproque. On a capturé des instants qui ne sont pas typiques de ce type de film, et Travis a été très patient face à une équipe une équipe de tournage qui voulait tout tourner. Mais au final ça permet d‘avoir des moments uniques et personnels, qui donnent un aspect documentaire sur la vie de Travis et sa personnalité. Le tournage de ce film a duré trois saisons d‘hiver, c‘était un projet très ambitieux. Aviez-vous une idée très précise des plans que vous vouliez dès le départ ? Ou vous êtes-vous laissés guider par la météo, les riders et les spots ? On part toujours sur un plan assez précis, tout en sachant qu‘il va être amené à changer. C‘est comme ça que ça marche. On avait de nombreuses listes de plans pour chaque lieu de tournage, mais on savait aussi que la nature documentaire du projet nous plaçait dans un état de découverte constant. La météo, les lieux de tournage, les riders, la logistique, et pas mal d‘autres variables ont influencé la production, et avec elle le rythme final du film. Il arrive parfois des choses que personne n‘aurait pu prévoir, et c‘est généralement là que l‘on fait les plus belles images. La qualité des images dans des environnements très exigeants est un peu la marque de ce film. Comment faites-vous pour travailler avec votre équipe dans ces conditions extrêmes ? On ne se rend pas les choses plus faciles, en fait c‘est même le contraire ! On prend des technologies nouvelles, parfois des prototypes, avec une équipe très nombreuse, et on va dans les coins les plus difficiles que l‘on peut imaginer. Il est de ce fait normal qu‘on ait des galères, c‘est inévitable quand on veut se servir de ces caméras de pointe dans des environnements pour lesquels elles ne sont pas prévues. Et en plus des contraintes auxquelles on soumet le matériel, il y a les dangers auxquels on expose les équipes de tournage et les riders sur le terrain. Le plus important, pour assurer la sécurité et l‘efficacité du tournage, c‘est d‘avoir une communication impeccable. Ceci étant, vous avez dû relever pas mal de défis… Il y en a une longue liste, mais je peux vous en citer quelques-uns. Réussir à faire marcher des caméras par des températures négatives est déjà un défi de chaque instant. Les drones en particulier n‘apprécient pas trop de voler après avoir été trimbalés sur une motoneige pendant des dizaines de kilomètres. Une fois, on a retenu tout un Boeing 747 pendant des heures, et on a fini par payer une somme vertigineuse pour emporter nos 75 pièces de bagages. Et une autre fois on a soi-disant violé une zone militaire alors qu‘on avait les autorisations, et on a été retenus par l‘armée pendant toute une journée. Se mettre d‘accord pour filmer avec des pilotes (et des traducteurs) qui ne parlent pas anglais est aussi un bon défi. Qu‘est-ce qui vous a le plus enthousiasmé, dans ce film et dans l‘histoire de Travis ? Je crois que c‘est d‘apprendre à mieux connaître Travis qui m‘a le plus intéressé dans ce film. Son obsession pour les mystères de la nature, comment relever les défis auxquels il se confronte, et sa façon de fonctionner. Les endroits et les gens que j‘ai eu l‘opportunité de montrer découlent de ces challenges, et quand on vit tout ça, c‘est merveilleux. Qu‘est-ce que vous voudriez que les gens emportent avec eux en sortant du visionnage de ce film ? De l‘inspiration. J‘espère que chacun pourra trouver dans ce film quelque chose qu‘il puisse appliquer dans sa vie personnelle. On se retrouve tous face à des défis, et on a tous notre façon de les relever. L‘idée c‘est que nos expériences nous aident à voir la vie avec une autre perspective, et qu‘on s‘enrichit en essayant de voir les choses sous un jour nouveau. Infos pratiques : Avant-Première parisienne : Le 19 septembre à 21H au Grand Rex en présence de l’équipe du film. (places limitées) Première mondiale : 2 octobre 2016 à 21h sur Red Bull TV. Disponibilité à la vente : 3 octobre 2016. Site officiel.